• Ici commence le récit de la suite de mes aventures, une fois revenu de mon séjour ressourçant en France...

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  • Ben c'est juste pour remercier tout le monde: rouennais, chevrotins et autres (p'têt la famille, par exemple ;o) pour m'avoir fait partager ces pures moments de bonheur en France. Décidément, si ce pays est si bien, c'est parce que vous y êtes. En plus, c'est vraiment sympa d'avoir pu me consacrer de votre temps, même si je débarque souvent à la dernière minute. MERCI.

    Pour les exilés, j'ai pas mal pensé à vous aussi, d'autant que je sais ce que vous ressentez... profitez-en bien et n'oubliez pas que je suis avec vous, les gars.

    Anlou: message perso dû à l'actualité... Le Kosovo, ça ne semble pas être la meilleure place du monde en ce moment... J'ai bien peur que ton projet humanitaire ne capote, ce qui serait carremment domage... tiens-moi au courant, stp.


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  • Vendredi 12 mars, retour sur Dampierre. Je passe l'après-midi à la maison et me voilà reparti chez Tintin pour une ultime nuit de folie.

     

    Là, c'est le moment d'une spéciale dédicace à Tintin, Dim, Dam's, Soizic et Damien. Vous vous en souvenez peut-être, je vous déjà ai parlé de leur embryon de groupe... Sauf que j'avais rajouté qu'ils avaient un concert bientôt (le 19, je crois... les amis, je pense à vous ce soir). On est donc une semaine avant leur concert, et j'avais déjà commenté leur performances la dernière fois: prometteur, mais à travailler. Or, donc, ils avaient prévu, avant mon arrivée, de partir répéter à partir du vendredi soir et tout le week-end à Siron, ce qui était en effet vital pour pouvoir aborder le concert dans des conditions correctes. Oui, mais ça, c'était avant de savoir que je sois en France pour une semaine... Résultat? Eh bien mes irremplaçables amis ont décidé de repousser leur départ jusqu'à vendredi-nuit (vers minuit - une heure) rien que pour pouvoir passer la soirée avec moi. C'est pas sympa, ça?

    J'espère que leur concert s'est bien passé, et je les remercie du fond du cœur pour m'avoir sacrifié une soirée de répet': Merci les amis! En plus, on a passé une super soirée (c'aurait été dommage, sinon, non?) et j'ai revu tout ce beau monde une dernière fois avant de repartir dans mon pays humide.

    En plus, squat officiel oblige, Tintin nous a laissé ses clés, histoire que les survivants (Carole, Oliv', mon chevalier préféré P.R. de Gerlach et moi) puissent finir cette bonne soirée tranquilles. Bref, j'en ai profité jusqu'au bout, de mes potes. Et on ne le dira jamais assez: "qu'est-ce que tu es con, Iolas!"

     

    Finalement, je me réveil le samedi 13 mars, chez moi, avec seulement la bouche pâteuse, cette fois. Là, petite journée tranquille en famille, avec une bonne surprise de mon père...

    Dans son bureau, je viens de décider d'écrire mes aventures françaises sur mon blog, lorsque je l'entends dire au téléphone "Mais enfin, ça m'étonne... ça fait longtemps que j'ai commandé ça, ça devrait être arrivé, maintenant... non, je n'ai reçu aucun appel... vous allez vérifier? Merci... C'est que j'en aurait besoin ce week-end... Vous l'avez reçu? Très bien... non non, je passe le chercher de suite, merci."

    Bon, moi, je me dis qu'il stresse pour rien, qu'il pourrait sans doute attendre le lundi de se faire livrer, et je lui demande ce qui est donc l'objet de sa convoitise. Là, il me répond qu'il avait goûté un petit vin de 1995 plutôt bon, qu'il en avait commandé une caisse, mais qu'il espérait pouvoir m'en donner une bouteille avant mon départ!!! Inutile de dire que j'ai trouvé la cause fort juste et j'aurais été prêt à l'emmener en cas de problème... tout d'un coup, bizarrement, ça me paraissait très important d'avoir le fameux colis avant lundi...

     

    Mais les meilleurs choses, décidément, ont une faim, et je dois repartir le dimanche 14 mars, pour l'Angleterre. D'ailleurs, spéciale dédicace à la RATP et à la SNCF (d'où l'intérêt de le préciser, n'est-ce-pas, Lapin... niark niark) qui se partagent la gestion de la ligne B du RER. En effet, alors que j'ai consciencieusement préparé mon départ (trajet et heure d'arrivée calculée par la RATP-SNCF elle-même) la veille sur leur site internet où rien de spécial n'est précisé, le dimanche matin, je me rends compte qu'il y a une interruption de ligne et qu'un retard d'une demi-heure à une heure est à prévoir... si tout se passe bien. C'est ballot, quand on à prévu trois quarts d'heure de battement, au cas où... Heureusement, on était dimanche, et mon Papa a eu la gentillesse de m'amener à l'aéroport en voiture.

     

    Enfin bref, après cette dernière péripétie, j'arrive en Angleterre où St Pierrick (qui me le fera payer la semaine suivante) viens me chercher en voiture à l'aéroport. Et ensuite? C'est une autre histoire...

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  • Jeudi 11 mars, je pars de Rouen. Je rejoints Noëmie, ma sœur, à St Omer (près de Lille, pour les nul en géographie). J'arrive à la gare de St Omer vers sept heures et là, retrouvaille avec la frangine. Ben ouai, mais c'est que ça fait un bail que je l'ai pas vu, moi la sister, et puis elle me manque, tout bêtement. Du coup, petite soirée en famille.

    Elle m'invite dans un petit resto original, "La pataterie". Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une chaîne de resto spécialisée dans la patate. En fait ils servent un menu complet avec, comme plat principal, une patate éventrée, garnie selon nos choix. C'est original, plutôt bon, mais je suis sûr qu'ils utilisent des patates génétiquement modifiées... C'est pas possible, des monstres comme ça... au moins, je me dis qu'avec des patates comme ça, on est en bonne voie de résoudre le problème de la fin dans le monde!

     

    Suite de la soirée sympa avec la frangine... C'est fou ce qu'on peut papoter, entre frangins... pour peu qu'on ne se tape pas sur la gueule.

    Ensuite, je repars le lendemain matin pour Paris (ben ouai, elle travaille, la journée, la frangine...).

    Nous somme le vendredi 12 mars et je n'ai qu'une petite gueule de bois, due au fait que j'ai pris quelques bières et du vins avant de m'être remis de la soirée EP... mais bon, sans regrets!

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  • Bon, déjà, juste un petit mot pour dire que je trouve étonnant que les filles n'aient pas laissées de commentaires... Eh, les filles!!! Vous lisez ou quoi? Je vous tends des perches grosses comme l'engin de Rocco et personne ne bronche? C'est décevant. Heureusement que Lapin, Xav et moi-même, on se laisse des commentaires parce qu'on sait à quel point ça fait plaisir de savoir qu'on ne fait pas tout ca pour rien, parce que sinon, c'est la déprime assurée. Soyons clair, nos blogs, ce sont "des journaux intimes pas si intimes que ça" parce qu'ils sont sur internet, mais ce n'est pas seulement un moyen pour nous de vous raconter ce qu'on fait, non, c'est aussi pour déconner avec vous, pour partager des moments où l'on aurait aimé être avec vous... en gros, pour être un peu – au moins virtuellement – avec vous. Alors, qu'on se le dise: prouvez nous que nos amis, c'est de la bombe atomique et manifestez-vous, bordel !!! Inutile de dire que je suis sûr de ne pas m'avancer en disant que Xav et Lapin partagent mon point de vue (détrompez moi si c'est faux, les gars)... alors allez-y, on n'attend que ça!!! (et je vous promet que les récits seront d'autant plus croustillants et fréquents si on se sent lu)

     

    Bon maintenant que l'humeur du moment a été exprimée et que j'ai un peu dégrisé en écrivant ces lignes, revenons à mon récit initial... Donc, nous voici le mercredi 10 mars.

     

    Réveil tranquille, légère gueule de bois, petite pensée à Aline et Anlou que j'ai vu partir en cours quelque temps plus tôt, douche rapide parce que je sais déjà que je vais (encore) être à la bourre, et départ vers le Mad, plus précisément pour le Coria, pour rejoindre cette chère Karine. Et oui, après tout ce temps sans se voir, la mère Karine a trop assurée: je lui téléphone la veille pour lui dire que je suis sur Rouen et que j'aimerais la voir, elle me dit être occupée tous les soirs de la semaine, mais qu'elle est prête à prendre une "bonne grosse pose" le midi pour qu'on puisse se voir et discuter le morceau de gras. Il ne m'en faut pas plus, je propose, dans un élan de galanterie et alors qu'elle parle de m'inviter au RU, un fameux "non, Karine, laisse... on partage" ™ (merci Franck Dubosc)

    Bref, me voilà parti pour le Coria. Je rencontre Karine et là, surprise, nous voilà parti pour un Quick ( certains connaissent la symbolique de ce genre d'endroit pour notre groupe de Rouennais...). Et là, super sympa. Karine pète la forme et c'est un vrai plaisir à voir, d'autant que je n'ai pas pu profiter de ma petite Karine depuis une éternité, alors là, gavage!!! Repas-discute sympa (surtout que j'ai escroqué la caissière: j'ai eu un sandwich gratuit sans avoir l'autocollant de rigueur... petite satisfaction personnelle). Donc, pour ceux qui n'ont pas eu de nouvelles depuis longtemps, sachez que Karine se porte bien, elle fait son DEA au Coria et devrait normalement enchaîner sur une thèse. Son travail à l'air de lui plaire, autant que l'ambiance décontractée du Coria. En plus, le bonheur (quasi-)conjugal est au rendez-vous, alors, en un mot, c'est le bonheur. Et ça, ça fait plaisir à voir.

    Néanmoins, le moment des séparations approche car elle ne peut pas se rendre à la soirée EP, le soir même... Je rentre donc sur le Mad content, mais tout en sachant que je ne la reverrais pas de sitôt.

     

    Là, j'ai environ deux heures pour:

    -          essayer de choper une place pour la soiée EP pour John qui veut s'y rendre depuis qu'il sait que j'y serais (décidément, ce John, il est vraiment incroyable, et c'est tant mieux...)

    -         essayer d'obtenir une place de bus pour le voyage de retour (il est prévu que je dorme en ville, chez Aline, même si John m'a préparé un couchage, au cas où...)

    -         essayer d'obtenir la même chose pour Aline (ben ouai, si possible... c'est pas que la miss est tête en l'air, mais elle a oubliée de préciser qu'elle voulait rentrer chez elle, en ville, par le dernier bus

     

    Bon, là, miracle d'influence due à l'ancienneté ou cul bordé de nouille, toujours est-il qu'en jouant finement et avec ténacité, j'obtient tout ce que je veux (et même un peu plus... pas vrai, John?)

     

    Donc, me voilà parti pour la soirée EP, dans la fameuse FLYING UNO (dont il est fait référence sur le blog de Lapin). Là, c'est comme dans un rêve:

    -          le décor est super sympa, dès l'entrée. Bravo les EP4.

    -         Je croise plein de gens que je n'ai pas vu depuis un bail, certains que je ne reverrais sans doute jamais, et même certains que je ne pensais pas être là...

    -         L'alcool coule à flot, miracle des soirées open-bar

     

    Le repas se passe joyeusement, spectacle à l'appui –de qualité le spectacle, on dirait que c'est de mieux en mieux. Evidemment, il vaut mieux ne pas être d'un autre département, sinon, on s'en prend plein la gueule (surtout si on est un ASI ou un CFI), mais après tout, c'est de bonne guerre...

    Là, je pense à mes deux amis expatriés, je trinque une fois en l'honneur de Xav, une fois en l'honneur de Lapin, et là, tout s'enchaîna... Ben ouai, on prendra ça comme on voudra, mais question de principe (et d'alcoolémie doublée de bêtise), je me suis mis en tête de boire aussi pour Lapin. Et ouai, Lapin, il faut que tu saches que tu as participé pleinement à cette soirée... je m'occupais de l'ambiance de la table, et toi et moi, on buvait gaiement des coups avec Aline, Anlou, Sév, John, POB et Edouard. Bizarrement, ils ne semblaient pas remarquer ta présence... mais en tout cas, ne t'inquiète pas: l'honneur est sauf, tu as bu comme un trou. En plus, on a pas mal fait rire Aline à chaque fois que je buvais mes deux verres de vin cul-sec... Bref, le repas s'est très bien passé...

    J'en profite pour dire que tu es une belle enflure, Lapin, à propos d'un certain message laissé sur le forum ASI... heureusement pour moi, POB ayant déjà testé le frac-anus et sa réaction sur moi, il n'était pas chaud, et Edouard s'y est pris comme un pied (d'ailleurs, il a eu de la chance que je sois occupé et que je l'ai pas recroisé pendant la soirée, celui-là...)

    Ensuite, le reste de la soirée s'est très, très bien passé. Je ne rentrerais pas dans les détails, mais mis à part le fait que l'alcool est venu à manquer un peu trop tôt à mon goût, tout s'est passé de manière surprenante, mais plus qu'agréable...

     

    Mais les meilleurs choses ont une fin, et me voilà le jeudi 11 mars, avec une gueule de bois consécutive supplémentaire à mon palmarès. Je pars de Rouen, direction St Omer...

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