• Mardi 9 mars, j'arrive à Rouen.

     

    Je me débrouille pour arriver à l'heure où Aline et Anlou (vous avez dit Relou?) sont sensée être rentrées de cours et,... oh lala, ça me fait repenser à l'épisode des fleurs... bon, moi, j'ai bien envie de le raconter, mais bon, vis-à-vis des filles, ca le fait pas... sauf si vous insistez, bien sûr... vous insistez? Bon alors d'accord, mais c'est bien parce que c'est vous, hein...

    Alors en fait, comme je suis un garçon bien éduqué, j'arrive chez les filles avec un petit bouquet de tulipes (en fait, j'avais d'abord pensé à une connerie que j'avais vu à Paris, une pancarte du genre "attention, chat débile de garde" à mettre sur la porte... mais bon, je me suis dis que si je voulais avoir une chance de dormir sous un toit les nuits suivantes, il valait mieux pas risquer le coup... dommage... mais finalement, avec les fleurs, j'ai qd mm pu rigoler un coup). Donc, je me pointe devant Anlou avec les tulipes, le charme fait son effet (décidément, les fleurs, c'est magique), on m'ouvre la porte et je me retrouve en deux minutes devant une tasse de thé. On cherche juste un vase pour mettre les fleurs, et là tout s'enchaîne!!! (et ce fut le drame...(TM) )

    Dans un premier temps, pas de pb, Anlou sort un pot (notez déjà: pas un vase) plutôt joli, mais manifestement trop petit pour contenir des fleurs sans se casser la gueule. Elle tente alors le coup avec une carafe en verre (pas vraiment style Louis XV, mais plutôt RU du Bois, si vous voyez ce que je veux dire...), mais encore un échec cuisant: c trop étroit (ben ouai, c'est épais des tiges de tulipes). Vachement emmerdées, la mère Anlou est désemparée et passe pour la troisième fois un oeil inquisiteur dans le salon et la cuisine de son appart à la recherche d'un récipient qui la sauverait de l'embarras. Finalement, je la vois hésiter et se saisir d'un objet couleur vert-qui-pête (genre canette de kro, mais en plus pastel). Elle l'ouvre et déclare d'un air peu convaincu: "bon, ca au moins, ca va aller." Il s'agit d'une "magnifique" bouteille thermos en plastique vert (oui oui, avec le capuchon qui fait godet et tout et tout), mais au moins, c'est vrai que ça rentrait...

    Récapitulons: je leur offre des (jolies) fleurs qui sont alors, de manière éclatante, mise en valeur dans une "magnifique" bouteille thermos couleur jouet-playschool-éveil-2à4-ans. Je lui fait remarqué en rigolant, et là, elle me sort, non sans humour: "Mais si... on a parfaitement l'habitude de se faire offrir des fleurs par des prétendants!!!". Note: à son arrivée, Aline fera la même remarque (mais j'ai rien dit, moi... faut pas se sentir agressée, là... ;o)

    Moralité: la prochaine fois, je viens avec l'écriteau pour le chat ou, au pire, avec des paquerettes ramassées au square d'à côté... avec des paquerettes, plus de problèmes, ça passe partout des paquerettes...

     

    Enfin, après cet épisode (mal)heureux, je revoie Mickey et Sév (séquence retrouvaille-émotion, genre film pour pré-pubère, presque avec la larme à l'œil et tout et tout) et on se programme une petite soirée tranquille. J'appelle John qui, oh miracle, est encore au Mad, et il se pointe immédiatement chez les filles. Sympa, quand même, le John... surtout qu'il m'a épaté au tel:

    Moi (sur de mon effet, prenant une voix neutre): "allo? Jonathan?" (notez l'emploi du prénom complet, chose que je ne fait jamais, rien que pour ne pas lui mettre la puce à l'oreille...)

    Lui: "Salut Romain, comment tu vas!?!"

    Moi: "......" (intérieurement: "c'est pas possible, il est trop fort ce John")

     

    Donc, s'ensuit une petite soirée sympa: kebab-vodka, un thème qui me plaît, d'autant que les retrouvailles, décidément, j'aime bien ça.

    Enfin bon, il faut bien se quitter et aller se coucher, mais je sais que de toute façon, je vais revoir tout ce petit monde le lendemain, à la SOIREE EP...

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    Bon, je mets tout de suite les choses au clair (suite à des remarques impromptues): après vérification, la voiture de Oui-Oui est jaune et rouge, comme ils le précisent si bien sur le lien suivant: http://users.skynet.be/bk159821/creawebwinnie/ouioui.htm

    Bon, de toute facon, je l'avoue, je suis pas le vrai Oui-Oui parce que je suis pas taxi et que je suis pas une star du show-biz, moi... mais je suis de la famille et j'ai pas choisi mon prénom!!!

    D'ailleurs, je le prouve en image...


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  • Donc, reprenons...

    hum hum (raclement de gorge) "Que nenni! firent-ils avec dédain,..." nan, c'est pas ça. Ca c'est l'épisode italo-grec qui restera gravé dans les annales sironesque ;o) et d'abord, j'oubliais le (TM)

    Bon, là, plus private, comme joke, tu meurs, alors maintenant que les non-initiés ont décroché et qu'on est sûr d'être entre nous, je peux continuer.

     

    Donc, j'en étais au samedi 6 mars, au moment où Tintin et moi-même goûtions un repos mérité. Bref, oui, mais mérité. Après ces deux heures de sommeil mérité (on ne le dira jamais assez... pour ceux qui ne sont pas convaincus, premièrement ça veut dire que vous avez mal lu les posts précédents, donc j'arrive à mon deuxièmement: je vous emmerde :op  ). Bien. Après ces deux heures de sommeil mérité, disais-je, le bourreau Carole fait son office. Ben ouai, c'est pas parce qu'on t'avais demandé de nous appeler pour nous réveiller, Carole, qu'il faut que tu te crois obligée de nous vriller les oreilles avec le son agressif que seuls les téléphones méchants sont capables de produire... non, ne répond pas, tu as tord et puis c'est tout, na!

     

    Enfin bon, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, on accepte gracieusement que ladite Carole nous transporte jusqu'au resto... Comme quoi, on n'est pas rancuniers ;o)

    Et là, sympa comme tout. On ne se lassera jamais de vanter le charme de cette petite crêperie des banières: son cadre enchanteur, ses serveuses... euh... nouvelles (bon, c la seule faute de goût des proprios), ses Lucullus (pour la définition du mot, adressez-vous au serveur, il saura vous répondre), ses crêpes au miel.... ahhh, rien que d'y penser, j'en connais un qui s'agite déjà dans son siège (Oliv', si tu nous regarde... pense qu'il existe aussi la crème de marron en échange, pour faire plaisir aux amatrices gastronomiques qui ont déjà montré que la cuisine, c'est une histoire de palais ;o)

    En plus, surprise de taille, je tombe sur mon ch'tit Yaninou qui est parti vachement loin aussi!! et même sur le Chevalier de Gerlach avec qui j'ai tant jouté par le passé, avant sa blessure en combat qui lui coûta une jambe (s'il y a, encore à ce stade, des gens qui lisent ces lignes et qui ne connaissent pas le personnage, je précise que la remarque précédente est 100% véridique... avis aux amatrices de gladiateurs musculeux et virils à mort...)

    Bref, (encore) une super soirée... décidément, les potes, c'est encore mieux que la crème anale apaisante, et c'est un connaisseur qui vous parle!!!

     

    Après un petit dimanche sympathique en famille (ben ouai, j'ai une famille, aussi... je vous avais pas dis? j'ai même aussi un chien, un chat, et une sœur, qui n'a rien à voir avec les deux poilus précédents, mais j'en profite pour la mentionner, ça aura son importance par la suite...), je fais mes bagages. Pas pour rentrer en Angleterre, non, pour aller enflammer la France avec des teufs de derrière les fagots (ben ouai, on a pas encore trouvé mieux pour mettre le feu, les fagots... mouai, on va mettre ca sur le compte de l'humour anglais qui déteint).

    Donc, lundi soir, soirée chez Tintin. Classique, vous dites? Ben stricto sensu, je peux pas vous contredire, mais si vous pensez ça, c'est que vous savez pas ce que c'est, une soirée chez Tintin. Une soirée chez Tintin, c'est... comment dire... ben c'est une soirée chez Tintin, quoi!!! ("pas de palais...") Vous m'embêtez, à la fin! Bref, arrêtez de m'interrompre sans arrêt, c'est énervant! (j'adore engueuler les gens qui ne peuvent pas se défendre... et puis ca va peut-être en motiver à mettre des commentaires ;o). Donc, soirée super sympa. C'est fou ce qu'une soirée chez Tintin peut vous faire vous sentir bien, quand bien même vous avez des restes de douleur dans le bas du dos... En fait, y a pas a tortiller du cul pour chier droit (TM), être entouré par des gens exceptionnels, ca aide. D'ailleurs, il doit y avoir un nid (de gens sympa, pour ceux qui ne suivent pas) dans le coin de l'appart de Tintin... les experts se penchent sur la question...

     

    Enfin, après tout ça, nous sommes le mardi 9 mars, date de mon départ pour Rouen...


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  • Vendredi 5 mars (suite)

    Après l'après-midi "retrouvailles" en famille, je commence mon grand chelem pour voir des potes le soir même. En effet, Tintin, Dam's, Dim, Damien, Christophe et Soizic répettent le soir (et pour la première fois ensemble alors qu'ils ont un concert prévu deux semaines plus tard... mais bon, c une autre histoire) et j'ai bien envie d'y assister, d'autant plus que Tintin me sort: "c cool que tu sois là... t motivé? parce que si t'es motivé, on peut p-ê se faire un truc énorme ce soir... On en reparlera ce soir...". Bon, connaissant Tintin, je pouvait m'attendre à tout, et ceux qui me connaissent ne seront pas étonnés de savoir que j'ai déclaré "être partant pour n'importe quoi".

    Là, je replace le contexte: j'ai 2h15 de sommeil à mon actif et je me suis bourré les deux derniers soirs, mais je suis survolté de revoir mes potes. La soirée se passe bien... le groupe ne fait pas toujours figure de "groupe" au sens propre, mais la musique n'est, au final, pas si mal pour une première fois ensemble. Arrivent minuit et les premières bières, c'est la fin de la répet'. On fait un peu les cons, et on pars vers deux heures du matin... pour les Pays-Bas!!!

    Là, je me sens obligé de donner quelques explications: cette décisions n'a pas été prise sur un coup de tête... en fait, il s'agit plutôt d'un coup de dés... ben ouai, ca aurait fait un 1 ou un cinq, par exemple, et on partait en Suisse...(véridique!) Vous voyez bien que c'est rationnel !?!?! Non? Ben alors, on est pas fait pour s'entendre...

    Donc, récapitulons... Le matin, je me lève (avec une sacré gueule de bois) en Angleterre. Je vais en France et, avant la fin de la nuit suivante, je me retrouve à Maastricht, aux Pays-Bas, en passant par la belgique (Salut Stéphane!!), pas mal, non?

     

    Bon, j'abrège un peu: on arrive à Maastricht, la ville est super sympa. Même style architecturale qu'Amsterdam, pour ceux qui connaissent (mais si, souvenez-vous... séquence souvenir/émotion avec une musique mieleuse en fond...) MAIS, à sept heures du mat', et ben... c mort :o(  Il pèle et il y a pas un seul café ouvert, pas même un coffee shop. Alors bon, c transi de froid qu'on visite le ville, jusqu'à 9h - 9h30, heure d'ouverture des cafés. Là, on se réfugie dans une place chaude et, vu qu'il est déjà tard (Dimitri voulait être rentré à 16h), on va directement dans un coffee shop, histoire de pas perdre de temps. Là, sympa. On boit un coup (chaud), et on joue à quelques petits jeux, tout en se défoncant la tête... enfin là, je parle des autres, parce que, comme ils ne vendaient pas de space cake, pour moi, la seule herbe que j'ai consommé, ben c'est du thé ;o)

    Sur le coup de 11h - 11h30, on repart. Je suis le seul à être net... en ce qui concerne les produits illicites et l'alcool (n'en n'ai plus rien dans le sang, depuis le temps, monsieur), parce que niveau sommeil, c'est pas avec la sieste de deux heures que j'ai faite à l'allée que je pêtais la forme... Mais bon, dans cette équipe de flêches, tous aussi vif qu'une tribu de paresseux (l'animal, pas l'étudiant CFI) auquel on aurait implanté des neurones de blonde, j'étais le plus alerte et j'héritais de la place de copilote, puis de pilote.

     

    Le voyage du retour s'est quand même bien passé, on a même mangé dans une friterie belge, avec tout de même une petite frayeur au niveau de la douane française... En fait, c heureusement le seul douanier qu'on a vu du voyage. On passe devant lui, au poste de douane, Dimitri ouvre la fenêtre et lui tend ses papiers... Déjà, là, je me suis dis qu'il y avait une chance sur deux que le douanier tombe dans les pommes à causes de la fumée de canabis qui est sortie de la voiture à l'ouverture de la fenêtre...

    Le douanier: "vous venez d'où, comme cà?"

    Dimitri (completement défoncé, mais quand même moins que les trois loques sur la banquette arrière): "euuuuhhh..." (au moins trois seconde)

    Dimitri toujours (qui essait de se reprendre, mais qui n'a manifestement pas tout saisi): "Ben moi je viens des Essarts... Lui de Chevreuse..."

    Une voix derrière (Tintin, je crois): "Le roy!... Il vient des Essarts-Le-Roy!"

    Moi (intérieurement): "On est foutu..." Byzarremment, cette optique ne m'embetait pas plus que ca, c'était presque sympa de se faire épingler avec cette bande de joyeux blaireaux (TM).

    Le douanier (lucide): "vous êtes allez vous fumer un petit joint, quoi?"

    Dimitri (le sourire aux lèvres et avec une voix presque fière): "ouai !!!"

    Le douanier (sympa, nous tendant une perche): "bon, vous n'en ramenez pas trop, quand même?"

    Dimitri (jouant sur les mots... "on n'en ramenait pas TROP", dira-t-il plus tard pour sa défense): "non! On en a bien profité là-bas."

    Le douanier (vraiment très sympa et compréhensif): "Bon, allez-y."

    Moi (intérieurement): "Surtout, penser à allumer un cierge à Maître Kanter..."

     

    Cette petite anecdote sera le symbole de notre petite escapade à Maastricht: complètement surréaliste!!! Pour la petite histoire, certaines personnes à bord avaient du matos. Rien de plus que leur conso perso, mais bon...

    Bref, nous sommes déjà le samedi 6 mars, on arrive vers 17h45 chez Tintin, on s'écroule comme des masses pour profiter des deux heures disponibles -pour dormir (décidemment, les nuit de deux heures, c'est la mode...)- avant la suite de ce premier week-end en France. Mais comme il se fait tard et que je partitionne le récit de mon séjour, je continuerais demain...


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  • Donc, commencons par le commencement: vendredi 5 mars, le départ.

    Après m'être badigeonné le derrière de crème appaisante suite à mon entrevue avec les gentils gars de chez Rolls-Royce, je pars pour la France. Déjà, ces quelques jours s'annoncaient bien et j'avais même le sourire grace à quelques évennements... Là, un flash-back s'impose.

    Mercredi, je me fais défoncer facon Rolls-Royce, je me défoule en criant ma douleur au monde entier sur mon blogg et j'annonce que je vais m'enchainer la gueule le soir même malgré les cours du lendemain (en fait de cours, c'était simplement les présentations du reste de la promo; je vous le dit tout de suite, j'ai rien vu de la matinée...) Donc, je vais au pub du campus, je pars assez vite, la fatigue aidant. Là, miracle de l'alcool, je commence à oublier ma douleur anale et je commence à m'amuser avec mes collègues qui avaient aussi du mal à s'assoir. Bref je passe une bonne soirée, qui s'enchaine sur une petite "after" avec deux potes chez moi, tranquille avec de la bière belge!!! C'est un détail important, à double titre. D'abord parce que dénicher de la bonne bière en Angleterre c'est pas facile, ensuite parce que la personne qui a réalisée ce miracle est elle-même belge. Ca aussi ca a son importance, parce que je parle de Stéphane, mon ami belge (et accessoirement mon belge préféré ;o). Une discussion s'ensuit avec ledit belge et je le questionne sur son futur mariage, car, oui, il était question de son mariage! (pour info, il a 22 ans comme nous, mais le débat n'est pas là) Ayant suivi l'affaire depuis le début, je me permet de lui poser pas mal de questions, la discussion va bon train, et là, il me sort: "Je suis content qu'on en parle maintenant, parce que j'attendais justement ce soir pour t'inviter à mon mariage, en Australie."

    Alors là, point info: déjà, oui, il se marie en Australie (parce qu'il épouse une australienne... c plus logique comme ca, non?). Ensuite, je ne connais Stéphane que depuis quelques mois et il n'invite que 3 personnes sur tout le campus, dont moi. Et là, ca me touche profondemment. C'est pas une belle preuve d'amitié, ca? Alors vous pouvez imaginer que je suis allé me coucher bourré, oui, mais avec en plus un sourire niais aux lèvres. Non seulement je trouve ca délire  de se faire inviter par un belge à son mariage en Australie, tout ca en Angleterre et quand on est francais!!!, mais en plus, on ne dira jamais assez, ca me touche énormemment (et ceux qui me connaissent savent l'importance que je peux accorder aux preuves d'amitié... il peut même s'agir d'un MacDo à dos de mulet bourré, desfois ;o)

    Inutile de rappeler que la matinée du jeudi est passée sans que je m'en aperçoive... Je vais quand même assister aux présentations de mes collègues l'après-midi, par solidarité (et j'ai bien fait: on n'était que sept en période de pointe... vive la solidarité!), et le soir rebelote! Ben ouai, vu que cette fois, tout le monde en avait fini, c'était la fête officielle. Donc, re-bourrage, déconnade avec toute la promo, fête de départ et tout le tintouin... et voila-t-y pas que notre amis Romain se retrouve jeudi soir à trois heures du mat', bourré, à préparer ses affaires pour partir en France. A quatre heures, il se déclare vaincu par sa valise (k.o. de la part de la chambre qui ne veut plus se laisser ranger).

    Tout ca n'aurait pas été grave si le même BLAIREAU (si si, il le mérite et il l'assume) ne devait pas se lever à 6h15 pour aller prendre l'avion direction Paris. Mais bon, on ne s'improvise pas blaireau, alors il dort ses 2h15 (normalement, c'est un détail qui ne pose pas pb, mais ca aura son importance par la suite) et il va vaillament prendre son avion, fatigué, mais heureux de laisser ses traumatismes anaux derrière lui (au sens propre comme au figuré) Nous sommes donc le vendredi 5 mars, vers midi, lorsque le joyeux blaireau (TM) arrive finalement chez lui.


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