• Je suis dans un état d'esprit plutôt bizarre. Il s'est passé un tas de choses exceptionnelles ce dernier mois, et plutôt des évènements très agréables, mais un petit blues m'a pris depuis cet après-midi.

    Du coup, bien que j'ai 1001 choses à faire et 2002 choses à dire sur ce blog et à mes amis-que-j'adore-et-qui-me-le-rendent-bien, et bien je vais tout simplement vous livrer des pensées comme elles me viennent. Ah oui, une dernière chose : toutes les pensées ne sont pas recommandables à un publique non-averti... mais bon, si vous avez échoué ici, c'est de votre plein gré... non? (que celui qui est attaché à sa chaise avec du scotch sur les paupières pour être obligé de lire ce blog lève la main, pour voir...)

     

    Alors, dans le désordre, voilà ce que ca donne:

     

    - il y a une petite théorie que j'avais établie tout seul dans mon coin et qui semble plaire à mon entourage, alors je vous la livre. Ca peut vous plaire, faites-en ce que vous voulez. Je l'appelle "la théorie du monde entier". Je vous explique:

    Elle se manifeste lorsque vous avez très peu de temps pour faire une chose simple et précise, vous savez, comme passer récupérer quelque chose dans sa chambre, juste avant de partir, alors que la voiture qui vous attend dehors a déjà klaxonné trois fois, ou encore lorsque vous voulez juste vérifier, alors qu'il commence à pleuvoir, si la fenêtre de la pièce du haut est bien fermée avant d'aller retrouver vos amis qui n'attendent plus que vous, le verre de champagne (qui perd ses bulles à vue d'oeil) à la main ou avant la fin de la pause pub de votre film de la soirée... cherchez bien, on a tous des exemples à la pelle.

    Eh bien, vérifiez chez vous, mais normalement, c'est pile poil le moment où le monde entier essaie de rentrer en contact avec vous, pauvre petit être pourtant si anonyme dans ce vaste monde... là, tous les moyens de communication se transforment en gouffre temporel sans fin: la tante d'Ouzbequistan qui vous téléphone car elle se dit que ca fait longtemps qu'elle n'a pas eu de vos nouvelles, le vieil ami que vous n'avez pas vu depuis deux ans qui vous envoie un e-mail pour vous inviter le soir-même, toujours dans la rubrique e-mail, vous devez renvoyer un document urgemment pour le boulot, tous vos voisins et amis se donnent le mot pour vous faire un "coucou" accompagné de 2-3 questions sur MSN, sauf ceux qui préfèrent ICQ, avec le fameux bruit de réception de message "ouhou" qui retenti juste au moment ou vous repassiez le seuil de la porte, sans parler du voisin qui passe devant chez vous et qui, vous voyant à votre fenêtre, vous hèle et vous demande ce que vous faites ce week-end... (testé pour vous, si si...)

    Si vous ne me croyez pas, faites un peu attention. Evidemment, la théorie du monde entier ne se manifeste pas à chaque fois, non non, trop facile... mais elle surviendra de manière fourbe au moment où vous vous y attendez le moins et surtout celui où vous avez le moins le temps! personnellement, je ne m'étonnerais pas qu'une personne essaie de me joindre parfois à un de ces moments critiques, bien sur, mais lorsque plus de trois personnes se donnent le mot dans un intervalle de 2 minutes dans ces fameux moments, il y a de quoi croire à la conspiration...

     

    - dans un autre registre, un genre de maxime qui vient de me venir à l'esprit. Bon, là, je dois prévenir:

     

    *********** attention, le passage suivant peut heurter les âmes les plus sensibles *************

    Bon, je commence par le début. Je sorts de la douche, ca date de quelque minutes. Hors, comme beaucoup de blaireaux, je chantonne sous mon pommeau, ou bâton-de-pluie (je tiens ce nom d'un chef sioux). Pour rendre l'exercice plus intéressant, je m'amuse à changer les paroles des chansons, et j'improvise le mieux possible. Souvent, il faut reconnaitre que ca ne donne rien du tout, mais desfois c'est pas trop mal, et certaines fois, je tombe sur un truc qui n'a rien à voir, mais qui peut être rigolo. C'est ce qui s'est passé tout à l'heure.

    Au fait, ce que je viens de raconter n'a aucun intérêt, même pour ce qui suit, mais c'est moi qui raconte, alors je fais ce que je veux  :op

    Bref, tout ca pour dire qu'en partant des paroles de "prendre un enfant par la main", j'en suis arrivé à la réflexion suivante:

    "Quand on prend un lépreux par la main, c'est un peut comme quand on marche sur un chewing-gum avec des tongues: on ne sait jamais si ca va rester collé"

     

    Voilà. Ca vaut ce que ca vaut. Ne chercher pas le lien entre la chanson et la phrase, y en a sans doute pas.

    *********** fin du passage sensible *************

     

    Voili voilou, le monde peut recommencer à tourner, je ne l'embêterais plus.

     

    P.S.: s'il y en a que ca intéresse, le petit coup de blues de cet après-midi date du moment ou j'ai ramené Carole à l'aéroport... et que c'est exactement le moment qu'a choisi une grosse entreprise pour m'annoncer qu'ils ne voulaient pas de moi... Ca serait pas la théorie du "Seul au monde", ca?


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  • Bon, ok, ca fait un bail que j'ai pas donner de nouvelles, mais j'ai de bonnes raisons... En fait, pas vraiment. J'avais pas envie d'écrire sur mon blog, et... ben c'est tout ;-p

    Et pourtant, ma petite vie, n'a pas été morose ces derniers temps... Bien sûr, il y a eu du travail (pour RR, mais je reviendrais là-dessus), mais j'ai aussi pris du bon temps (quand je dis ca, les bien informés peuvent vous convaincre de me prendre au pied de la lettre).

     

    On passe vite fait sur le boulot:

    Je sorts (enfin, il y a quelques heures) d'un "Meeting Review" avec RR, pour qui j'ai -encore- travaillé plus que de raison. Et là: surprise! Bien sûr, le stress (mais moins que d'habitude, on se fait à tout), ou plutôt l'angoisse de devoir ré-utiliser un coussin spécial "cul sensible" pendant encore une semaine... Et bien non, rien de tout ca! En prime, même un "good job" à la fin, et je peux vous dire que de la part de ces salopa... (je ne finis pas le mots, mais ca rime avec "part"), c'est pas volé. Enfin bref, cette fois, je ne leur ai jamais tourné le dos et j'ai rasé les murs... et ca paye!!! Je-ne-me-su-is-pa-as-fait-enculé-é!

    Après cette petite satisfaction personnelle, passons au reste. Je n'ai pas à me plaindre, loin de là, parce que:

    - des "petites" fiesta ont ponctuées ce dernier mois. La photo ci-dessus montre les préparatifs de l'anniv de Juju... surprise, l'anniv... il n'y a vu que du feu, le blaireau! même quand on l'a kidnappé pour le bourrer avant le bowling.... ahh le con.... enfin, si vous aviez vu sa tête d'ahuri sur le moment, je vous jure que ca vaut le coup ;o)

    - j'ai recu de la visite. Et oui, sympa le coup de la frangine, du Nico, et de sire Pierre-Rudy, chevalier de GuerlacH. Là encore, on a passé du bon temps et... c'est fou ce que ca fait plaisir, ces conneries!!! snif, j'en pleurerais presque... sauf que...

    - ben là, il est à peu près 17h de l'après-midi-avant-le-soir, que j'ai un peu pré-fêté l'avènement du non-défoncage de cul par RR comme il se doit, avant la soirée de ce soir, qui s'annonce déjà mémorable!

    Bref, que du bon. En quelques mots: je vais bien, tout est plutot tranquille, et... bise à tous :oD

     

    P.S.: Lapin, j'ai 2619 choses à te dire... et j'ai moi aussi une carte postale à t'envoyer... depuis novembre ;-p On va voir ce qu'on peut faire pour coupler les deux problêmes précédents.


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  • Vous voyez les guignols sur la photos?

    Si vous dites "non", vous êtes d'une mauvaise foi à toute épreuve et je décide de n'adresser la parole qu'aux autres, na.

    Donc, ces joyeux blaireaux que vous avez devant les yeux sont maintenant -au moins- mondialement connus, suite à des prouesses titanesques au cours d'épreuves herculéennes et de joutes chevaleresques.

    Bon en clair et un chouilla plus objectivement, c'est avec ces guignols qu'on a remporté la petite rencontre multi-sports du campus, le mois dernier. Ca n'a l'air de rien, mais c'est une de ces petites gloires qui illuminent le sombre chemin de la destinée et qui fait, entre autres, qu'on se sent un peu moins insignifiant en ce bas monde.

    Pour la petite histoire, on a deux pages qui nous sont.. pas consacrées, mais où notre triomphe est exposé à la lumière timide du campus, tout ça dans la gazette locale. La encore, ça n'a l'air de rien, mais un triomphe est un triomphe, bordel!

     

    Alors Voilà l'équipe de vainqueurs....

    Notre secret?

    L'ambiance !!!

    Pour les présentations, on a, en commençant par le haut:

    - Julien, de l'UTC, un super pote, compagnon de galère loyal et fidèle pour toute tentative de murge

    - Fred, le capitaine, qui s'illustrera dans l'épreuve du lancé, tout comme dans les soirée qui s'ensuivirent

    - Adam, mon super-coloc et accessoirement mon anglais préféré (imaginez qu'il vient vous chercher toutes les demi-heures, en boîte, pour vous sortir, en francais: "viens voir, des pitites coquineux!" Effet assuré ;o)

    - votre serviteur, qui a donné de sa personne pour participer aux épreuves la journée, tout en pensant à soigner l'image et l'honneur de l'équipe lors des soirées post-sportives.

    - Alessio, l'italien. Un footeux, un vrai.. et un gentil, en plus. A connaître.

    - Fiona, la seule gonzesse de l'équipe, ce qui est déjà pas mal: certaines équipes n'en n'ont pas et, vu la moyenne d'étudiantes sur le campus, on comprend pourquoi. Fiona est irlandaise (donc elle boit beaucoup) et s'est brillamment illustrée dans les diverses épreuves sportives. Chapeau bas, mademoiselle.

    - Edouard, ou "Coach". Un volleyeur. Pré-soirée chez lui, histoire de se préparer mentalement à la troisième mi-temps... Avec lui, ambiance garantie!

    - Serge, un externe au campus. On a fait venir des joueurs de l'étranger (de France... sans commentaire...) et ça a payé. Avec un gars qui sort de STAPS, ça booste quelques résultats. Je ne le connaissais pas avant les Olympics. C'est une des bonnes surprises de l'évènement, tellement il est sympa.

    - Ploplo... le lauréat de notre concours de billes, vous vous souvenez? Bon, eh bien inutile de dire que les billes, c'était beaucoup moins utile pour les Olympics... Mais bon, on va dire que c'était notre préparateur moral ;o) Il était là pour l'ambiance, quoi. Vanne à part il a joué au moins aussi bien que nous... enfin, il s'est donné, quoi.

     Voilà, on a fait le tour. Les ages tournent autour de 21 à 26 ans, je pense, donc une bonne ambiance de d'jeuns en folie... Ca doit être pour ça qu'on à mis une branlée aux autres... même ceux qui ont joué "tactique"... (nous, c'était: Si on s'éclate, c'est super!... ça marche)

     

    La petite touche finale:

    Non seulement, notre équipe a remporté plus de la moitié des épreuves haut la main, mais en plus c'est la seule à avoir été présente le soir entre les deux jours sportifs pour faire la fête au CSA. Et oui, ma brave dame, on ne s'improvise pas champion... il faut l'état d'esprit de poivrot.. euh non, de vainqueur, qui va avec!


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  • Bon, alors là, je saute joyeusement un mois, et j'en arrive à ce matin. Ou plutôt non: cet après-midi/soir (il est 20h02 mais je n'ai pas vraiment de notion de temps aujourd'hui, donc vous appelez ça comme vous voulez)

    P.S.-pas si Post-Scriptum que ça: je fais un max d'efforts pour avoir un discours cohérent et limiter les fautes d'orthographes, et c'est pas gagné... (merci à Word sur ce coup là)

     

    Donc, commençons par le commencement et parlons de ce matin. En effet, ayant un blog que je ne met pas à jour régulièrement, mais je reviendrais là-dessus plus tard, j'ai pris l'habitude de consigner certaines impressions/états d'âme du moment. Voilà celui de ce matin:

    "Situation : 11h17 - gueule de bois

    levé depuis 11h11 - réveil réglé à 11h00

    Motif du réveil : aller chercher de l'alcool pour la murge de ce soir (engagement de la veille), et ne pas être en retard pour celle de ce midi (début à 12hh00/midi pile - budget bouffe : 1500 balles (frs français) - alcool : plus du )double (~3500 balles) - nombre : petite trentaine de personnes (~25)"

    Bon, c'était les notes de ce matin. La traduction, c'est qu'hier, j'ai fait le dernier exam de ma vie, ce que je ne réalise pas encore complètement, donc une murge en règle a suivi. Jusque là, ça parait normal. Là où ca devient plus violent, c'est que le lendemain, une autre murge est prévue... ou plutôt non: 2 murges!

    En fait, voilà le p'tit étudiant (plus pour longtemps... on doit rire ou pleurer ?) qui se réveil avec une gueule de bois du tonnerre de Zeus (désolé, depuis tout petit, je kiffe cette expression :o), mais il a mis son réveil à 11h00, le ouf, pour une simple et bonne raison: il doit aller acheter de l'alcool au supermarché pour la soirée anniversaire de son colloc / soirée de départ d'un pote de ce soir. Il a pas le choix, il a dit qu'il le ferait (et contrairement aux engagements pris sur ce blog, en général, quand il dit quelque chose, le gars, et ben il le fait...).

    Seulement voilà... Il a une gueule de bois terrible, donc il a la tête dans le cul encore plus terrible, et il doit fêter la fin officielle des exams ce vendredi (parce que oui, son dernier exam était seulement ce vendredi, mais vu qu'il était largeoss, le gars, et qu'il avait pas envie de travailler plus que ca, il n'est pas allé à l'exam... en plus c'était une option, et finalement, 5 du master s'y sont rendu... alors que c'est plutôt des brutes, quand même... (houlala, je me transforme en Sid, là! ...que ceux qui peuvent comprendre comprennent)

    Enfin voilà, il a rendez-vous à 12 heures tapantes (putain d'horaire anglais... on a pas idée... à l'aube!) pour une murge mémorable, orchestrée par nous même. Là, je dois dire qu'on a bien fait les choses :

    - Vu qu'on a fait une conférence où les industriels devaient payer pour nous écouter (sauf les VIP, Very Important Potes, n'est-ce pas Carole?), on avait un peu de thune de coté, donc...

    - on a réservé une salle pendant plus de trois heures, avec un buffet et BOISSON A VOLONTE... dans la limite des stocks disponibles, bien sûr, mais dans un pub, ils ont de la marge... Tout ça pour fêter une fin d'exam sur les chapeaux-de-roue. Budget totale: pus de 5000 balles...

    - Pour la petite histoire, il nous reste encore plus de 10000 balles à dépenser en teuf... bien travailler, qui a dit que ça ne rapportait pas ?

     

    Seulement voilà (bis), le rdv est à midi, il a une énorme gueule de bois, le gars, et il doit aller chercher l'alcool pour ce soir avant de reboire comme un trou... cette expression est à prendre au sens figuré... quoique...

    Bref, il prend la route avec seulement l'alcool de la veille dans le sang, ce qui est déjà pas mal, et il arrive à l'heure à sa murge-party. Là, il n'a pas vraiment envie de boire: il est encore tout barbouillé et c'est presque le réveil... et l'alcool au petit dej', c'est digne d'un alcoolique, mais bon... question de principe. Envie ou pas, le voilà reparti à boire comme un trou... Il faut dire que c'est un peu le rêve de sa vie : il est dans un pub ou il peut aller au bar autant qu'il veut et demander tout ce qu'il n'a jamais eu les thunes de se payer, à volonté et tout en double, s'il-vous-plaît... double Vodka-red bull, double cognac, double whisky, double Bailey's... double tout, quoi! (sans compter les doubles bières, bien sûr, et un petit challenge sympa gagné par Guillaume : boire une bouteille de chaque boisson proposée par le pub... oui, je sais, ça fait beaucoup, mais on ne compte que ce qui rentre... même si ça ressort un peu plus tard de manière peu.. romantique, on va dire ;o)

     

    Donc, re-bref. Je suis à présent entre deux fêtes, j'ai l'impression d'avoir bu non-stop depuis la fin des exams hier (ce n'est qu'une impression?), oui, Maman, je bois comme un trou, mais non, je n'ai même pas honte (ça... c'est dit!... on ne sait jamais, les voies de l'Internet ne sont pas impénétrables, et mon journal intime n'est définitivement pas si intime que ça), et je profite de cette pause, elle-même entrecoupée de Bomberman et de concours de tas (pour ça aussi, j'ai de beaux restes ;o), pour donner enfin des nouvelles d'un homme libéré de beaucoup de contraintes matériels... enfin!!!

     

    Voili voilou... j'ai encore beaucoup de choses à raconter, mais l'appel de l'alcool et de la fête qui va avec (= des potes qui attendent avec de plus en plus d'insistance) se fait plus fort. En passant: je m'épate pas mal, quand je vois le discours que je suis capable de tenir dans mon état. En fait, je suis comme dans un état second... j'ai eu de l'alcool dès le petit déj', mais j'ai encore un peu d'esprit... expérience originale... mais peut-être pas

    à renouveler de sitôt, on est plus en mai 68, bordel! Enfin... une fois de temps en temps, la déchéance humaine à le droit de porter un nom, alors je lui prête le mien pour ce soir.

     

    Vous l'aurez compris, maintenant que j'ai fait mon devoir en écrivant ces quelques lignes, je ne réponds plus de rien.

    Alors, vive tout et surtout les gens heureux !!! (je fais parti du club, maintenant)

     

    Bisous et à bientôt.

    Oui-Oui, qui pique un concept de plus de 2000 ans en ressuscitant.


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  • En cette période pascale, il est de bon ton de réscussiter. Alors voilà, moi, je réscussite, un point c'est tout.

    Donc, si je devais résumer ces derniers temps, c'est (dans l'ordre):

    - gloire sportive,

    - Déchéance humaine, ou "comment repousser ses limites, façon italienne",

    - éclate totale en Ecosse, ou "l'avantage d'avoir des potes délire",

    - travail à la con avec des principes à la con,

    - et plus récemment: expérience de déchéance humaine, la suite du pire.

    Je m'explique...

    Déja, quand je vous avais laissé, il y a plus d'un mois, c'était juste avant une rencontre sportive, les "Olympics", où l'on compose une équipe de dix personnes (de 4 nationalités différentes en ce qui concerne mon équipe... que du bon, je vous dis! )

    Je vous passe les détails, mais on a gagné plus de la moitié des épreuves (sur 6 ou 7 équipes au départ...), dont volley-ball, course, gym (facon Serge=Muscu), et peut-être une autre dont je ne souviens plus. Bref, on a tout déchiré, on a placé notre "Jocker" où il fallait, et votre serviteur s'est montré plus que compétitif... Une fois de plus plus, ca me permet d'affirmer ce que j'ai toujours proné:

    Pour conserver des fruits ou des organes (pour les quelques Yakuza qui en font le traffic), on les met dans de l'alcool... et bien pour l'homme, c'est pareil! "Prenez un homme avec un bon entrainement physique dans sa jeunesse (disons jusquà 18 ans), trempez-le dans l'alcool régulièrement... et attendez: même sans pratique sportive, le spécimen se conservera, se dégradant de plus en plus de manière critique, caractérisé par une corpulence stomacale à croissance accélérée, mais il sera toujours capable de performances sportives plus qu'honorables (par sursaut d'orgueil?)"

    Newton, après s'être pris une pomme sur la gueule

    Toujours est-il qu'on a atomisé les autres, ce qui se traduira par:

    1/ une médaille (une de plus, ca devient lassant... cf l'épisode du foot en salle ;o)

    2/ une partie de karting de deux heures pour toute l'équipe en récompense, ce qui aura lieu dans deux semaines... je vous raconterais le détail bientot... :o)

    Vient ensuite une période de murgeasse assez imposante... qui mérite un autre paragraphe.


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